Le poème : Sauvez la planète et
L'humanité !
Planète,
tu vas mal ! Humanité tu meurs !
Recherche
écologique et anthropologique
Témoignent
d'avenir de périls prédateurs.
Ce
résultat s'inscrit dans l'apocalyptique !
Les
dégradations, autour de nous, font peur.
Pollution
de l'eau, l'air et la nourriture,
Fleur,
abeille, et l'oiseau disparaissent. Stupeur !
Le
réveil est tardif pour sauver la nature !
L'industrie
atomique est comble de l'horreur !
Sans
bruit part le rayon qui fait la terre morte,
Et
sème le cancer... Sans couleur ni odeur.
L'urgence
est d'en sortir, avant qu'il nous emporte !
Bombe
à Nagasaki après d'Hiroshima...
Et
Three Mile Island, loin d'être bagatelles,
Tchernobyl,
Cadarache et puis, Fukushima,
Marcoule
et Tricastin, catastrophes mortelles !
Et
l’anthropologie intervient maintenant,
Étudiant l'effet de la déliquescence
Sur
la société, chaos hallucinant ,
Corruption,
suicide et dégénérescence !
Marchandisation
du travail humain
Dont
le capitalisme est le propriétaire.
Quand
la vie se prolonge, il l'exploite haut la main,
Et
confisque le prix en adjudicataire !
Les
effets du chômage et de l'anxiété
Pénètrent
le mental qui trop souvent déraille.
La
délinquance croit, crime et atrocité
Grandissent
de concert et sèment la pagaille !
Le
mensonge est la règle, et le mépris itou
Le
trafic financier anéantit le monde.
Le
pouvoir et le fric sont, seuls, les rois partout.
Le
peuple est anxieux et sa colère gronde !
L'exploiteur
scélérat remplit son coffre-fort.
Le
travail a un prix qui fonde les richesses.
La
part du travailleur ne vaut pas son effort,
Celle
de l'exploiteur est indélicatesse.
La
libération du travailleur ? Espoir !
L'émancipation
humaine universelle
Est
à l'ordre du jour. On peut la percevoir !
L'aliénation
devient intemporelle.
Combats
ensanglantés, décidé par un seul,
Sèment
la mort, la ruine et la misère au monde !
Le
peuple halluciné par autant de linceuls
S'effondre !
Ô désespoir ! Cessez ce crime immonde !
Établissons la paix ! Entendez notre cri !
Partageons
entre tous, la richesse et les choses
Pour
ceux qui ont froid, faim, pauvre et sans abri !
Ils
ont droit au bonheur, aux œillets et aux roses !
Mathilde
FILLOZ